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Devenir traducteur

Comment puis-je devenir traducteur ?

Avant ou après une formation en traduction, on nous demande souvent des éléments sur le métier de traducteur. Voici les questions les plus fréquentes: 

1. Je suis bilingue, je peux donc devenir traducteur(trice) n’est-ce pas ?

Malheureusement, rien n’est moins sûr. Il ne suffit pas de parler, fût-ce à la perfection, deux langues pour devenir un traducteur freelance ou en agence. En effet:

Traduire est un métier

2. J’ai un diplôme d’une école de traduction ; est-il suffisant pour exercer le métier de traducteur ?

Pour la théorie, certainement. Reste maintenant à découvrir la pratique. En traduction, l’expérience est irremplaçable.

3. Je suis quadrilingue (Français, Anglais, Allemand, Espagnol), j’ai donc deux fois plus de devenir un bon traducteur ?

Au contraire, la plupart des agences de traduction sérieuses écartent les traducteurs qui prétendent traduire aussi bien d’une langue à une autre - sauf exception. Concentrez-vous sur deux langues ! Les agences et les clients ont besoin de traducteurs fiables et compétents.

4. D’origine espagnole, je traduis de l’espagnol vers le français ou du français vers l’espagnol ?

La plupart des agences considèrent que l’on n’a qu’une langue maternelle. Si vous parlze les deux langues aussi bien bravo, mais reste à en convaincre votre client ou la personne qui gère les traducteurs.

5. Je suis spécialisé(e) en tourisme, machine-outils, informatique, juridique et gastronomie...

Quelquefois la liste est plus longue. Ne confondez pas "avoir une expérience de" et "être spécialisé en".

6. J’ai envoyé des dizaines de CV et je ne reçois que deux ou trois réponses négatives, pourquoi ?

Les agences recoivent votre offre de services parmi une quantité d’autres. Ils ne se sentent pas plus obligés de vous répondre que s’ils recevaient une offre publicitaire. Quelques recommandations de bon sens : soyez clairs dans votre offre (salarié/freelance), mettez l’essentiel dans l’entête du mail, faites attention à l’orthographe, la ponctuation (pour un traducteur, ce n’est pas secondaire) et essayez de sortir du lot !

7. J’ai toutes les qualifications nécessaires, et même un peu d’expérience, voulez-vous me faire travailler ?

Pour exercer le métier de traducteur freelance, il faut obligatoirement être inscrit à l’URSSAF, si vous habitez en France et vous conformer à la législation du pays dans le quel vous êtes basé dans tous les cas. Aucune agence sérieuse ne vous fera travailler sans cela.

8. Etre indépendant c’est risqué, ne vaut-il pas mieux être salarié, surtout en début de carrière ?

Le temps des agences qui se targuaient d’avoir des dizaines de salariés est révolu. Mis à part quelques grandes administrations nationales ou internationales et un petit nombre de grandes entreprises, la tendance est à l’externalisation à des agences. Celles-ci sous-traitent au traducteur indépendant le plus qualifié peut importe le lieu de résidence de celui-ci. Même s´il vit à l’autre bout du monde, cela ne pose pas le moindre problème grâce au mail et à une connection internet de qualité.

9. Suis-je en concurrence avec des traducteurs hors de France, même pour traduire vers le Français ?

Oui, il faut en être conscient, il y a des traducteurs français (pour la traduction vers le français) et expérimentés, qui vivent dans des endroits où la vie est nettement moins chère qu’en France...

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