Le français n'est plus ce qu'il était
On connaît le mot de Charles Quint : "Je parle espagnol à Dieu, italien aux femmes, français aux hommes et allemand à mon cheval".
Le français, jadis langue diplomatique et dominante à un point que l’on a peine à imaginer aujourd’hui, a fortement reculé au sein de l’Union Européenne, depuis l’entrée de la Suède, de l’Autriche et de la Finlande en 1995. Dès 1997, le français ne représentait plus que 40% des documents de la Commission Européenne. En 2008, plus que 14%.