Et l'arbre qui cache la forêt
Dans son livre Le poisson et le bananier (en anglais "Is that a fish in your ear ?"), Davis Bellos aborde nombre de reproches que l'on fait traditionnellement à la traduction et aux traducteurs et les réfute un à un.
Certes cette "Défense et illustration de la traduction" a sans doute son utilité, mais en bon universitaire, David Bellos passe sous silence 99% des traductions qui se font dans le monde, c'est à dire les traductions dites techniques (par opposition à la traduction littéraire). Et là, il n'y a plus guère de débat : Traduire est un impératif absolu, une évidence, car c'est le passage obligé vers le dévelopemment et la coopération sous toutes ses formes, qu'elle soit politique, économique, financière, technique, etc.
L'arbre lui aura caché la forêt...