Pour vos demandes de devis :
FTP sécurisé si pièces jointes >10M
Tel : 01 80 92 56 40

Le blog de agence-traduction-paris

Les 7 piliers de la sagesse en traduction

S’agissant de traduction, il est facile de se prendre pour un expert, ou suffisamment expert – y compris dans le choix d’un prestataire. Voici quelques points de repère.

 

Traduction pas cher !

Prêts à payer cher pour faire des économies ?

Il y a les entreprises où tout le monde est censé être bilingue, et où l’on baragouine plus globish qu’autre chose ; celles où les cadres rédigent notes et rapports directement en anglais, mais que seuls des francophones peuvent comprendre tant leur anglais est une traduction des structures du français, ce qu’on appelle du mot à mot ; les entreprises tellement soucieuses de faire des économies qu’elles ne prennent la peine de traduire que le strict minimum (et moins quand elles le peuvent) quitte à perdre des marchés ; celles qui s’imaginent qu’en dehors de la France, tout le monde maîtrise l’anglais ; celles qui achètent leurs prestations de traduction comme elles achètent des prestations de nettoyage de bureaux, c'est-à-dire en achetant un prix, en imaginant que cela ne fera pas une grande différence. Mais qu’est ce qui est pire : payer 100 € de trop par rapport au « vrai prix » ou 100 € de moins ?

 

Lorsque vous payez trop, vous perdez un peu d’argent, lorsque vous payez trop peu, vous perdez tout. Hélas, nous le savons, les gens aiment bien faire des économies, et comme le disait un humoriste qui ne manquait pas de sagacité, ils sont même prêts à payer très cher pour cela !

 

Autres articles du blog Blog A4 Traduction

 

Low cost in translation

La traduction traduit votre image

Intoxiqués par les émissions de télévision qui vous expliquent, comme une évidence, qu’il faut toujours acheter au prix le plus bas, les comportements des interlocuteurs en entreprise s’en ressentent.

Non seulement ils n’analysent pas toujours l’enjeu économique de la traduction (quel est l’impact pour leur entreprise de traductions inexactes, maladroites ou même plates ?) mais dans des entreprises qui font des millions ou des milliards d’euros de chiffre d’affaires, ils seront fiers d’avoir fait économiser 100 € à leur organisation et persuadés qu’on les en félicitera !

Ces causes-là sont historiques, structurelles, et on ne peut lutter contre elles qu’en parlant de notre métier urbi et orbi, aussi clairement et aussi souvent que possible.

Des croyances sur la traduction

Ridicule !

Je sais que lorsque je dis, parce que je le pense, que les (bons) traducteurs ne sont pas assez payés, je reçois un certain assentiment de la part de la communauté des traducteurs. Mais sans doute faudrait-il aller plus loin que cette complainte justifiée mais stérile. Et pour aller plus loin, il faut en analyser les causes :

  • Depuis la Renaissance, la traduction est la source d’inspiration de nombreux auteurs qui n’hésitaient pas, en adaptant librement une œuvre, à s’en attribuer la paternité. C’est l’époque « des belles infidèles » qui a entraîné avec elle le stupide soupçon « traduttore, tradittore » qui est resté dans les esprits.
  • Au XIXème siècle elle devient un gagne-pain accessoire de romanciers ou de poètes maudits. Leur connaissance de la langue source est souvent défaillante, mais au royaume des aveugles, les borgnes sont rois.
  • Au XXème siècle, la traduction littéraire cède le pas à la traduction dite « technique » - il faut entendre par là tout ce qui est traduction d’entreprise ou d’organisations internationales, gouvernementales, non-gouvernementales ou professionnelles. Mais on a gardé les bonnes vieilles habitudes mentales qui consistent à considérer que :
  • La traduction, c’est facile : il suffit de parler plus ou moins bien deux langues
  • Donc le premier « bilingue » venu peut le faire
  • Par conséquent plein de gens peuvent traduire
  • Et si tout le monde – ou presque – peut le faire, puisque c’est si facile, la conséquence en est que ça ne peut pas coûter bien cher.

Naturellement, ces croyances sont ridicules, mais si le ridicule ne tue pas, en la matière il fait perdre des clients et des marchés à nos clients.

Zen avec Zoé

Dimanche, 19H35

Journée cocooning, et musique aussi fort que le permet la vie en appartement - ce qui lui permet d’entendre le vibreur de son téléphone.

Vous avez un nouveau SMS.

- Salut Zoé, peux-tu demander à l’agence le doc pour lundi midi au plus tard ?

Bonne soirée @+

Il est sympa Arnaud, mais pourquoi ne pouvait-il pas le dire avant qu’il le voulait pour midi, se dit-elle un brin irritée, avant de le noter sur son agenda.

Elle a l’habitude, mais quand même…

Lundi, 9h10

Zoé allume son écran, pose son sac et compose le numéro de l’agence sans même s’asseoir

- A4TRADUCTION bonjour !

- Ouiiii, bonjooour, c’est Zoé de Foldingue & Cynoque

- Je vous avais reconnue, que puis-je faire pour vous ?

- Ecoutez, il me faudrait ab-so-lu-ment la traduction pour midi… Ce serait possible ?

Aglaé est effondrée. Non seulement Foldingue a mis une journée avant de leur envoyer les textes et a attendu vendredi 19h pour faire le règlement, mais ils en veulent encore plus ?

Calmement, Aglaé explique :

- Oui, je comprends, mais comme nous l’avons indiqué notre devis, nous nous sommes engagés pour une livraison pour 18h, pas pour midi.

Zoé se dit à ce moment-là qu’Arnaud n’est pas toujours très réaliste.

- Oui, je sais, mais au cas où vous auriez le document avant… est-ce que vous pourriez demander au traducteur s’il peut livrer faire au plus vite ?

- Je peux lui demander, mais je ne peux rien vous garantir, étant donné que la traduction prend du temps et que le délai que je vous avais indiqué est pour ce soir 18h. Naturellement je vais indiquer au traducteur que nous aimerions l’avoir avant, mais honnêtement, je ne peux pas vous promettre une livraison pour midi.

- Je compte pour vous pour faire le maximum, car c’est vraiment très urgent !

- Je contacte le traducteur dès maintenant

- Merci Aglaé !

Pages

 

Demande de devis :